Nawak : faire n'importe quoi, il y aura toujours quelqu'un pour rire
« Et ! Tu sais ce qui serait cool ? Machete tend son bras vers le haut, il utilise son grappin pour choper une pale du rotor qui tourne et, profitant du mouvement, il décapite les mecs les uns après les autres ! Fun non !!
- Mais c’est n’importe quoi !
- Ouai, c’est ça qui est bon ! »
Inutile de er trois heures. J’étais venu voir du Rodriguez et du Machete, j’ai eu le premier. Machete a été ici contaminé par un virus complexe : une sorte de mélange improbable entre le Rodriguez délirant de Planète terreur, le Charlie Sheen de Hotshot, et un arrière-goût étrange d’Austin Power.
Un film délirant, jamais loin du nanard, jamais totalement dedans non plus. Du nawak, des vannes pour choper des accros à Star Wars … alors oui, je l’avoue, c’est un mauvais Machete mais je me suis marré. Une semaine de taf et de tension évacuée. Voilà une moyenne débile, à la hauteur de cette farce.