Très souvent des fausses notes de Leila Beikhti
Très peu de mise en scène mise à part quelques trouvailles intéressantes comme le cadrage "plan jambes"
Exception : séquence musicale de l'apprentissage de la lecture (tout y est : c'est vivant, touchant, émouvant et beau) : on peut apprendre à lire du Proust seulement à partir des chansons de Sylvie Vartan (et oui !)
Pas fan du discours implicite sur l'émancipation sociale par l'assimilation par l'embourgeoisement (c'est l'époque qui veut ça mais dommage qu'on valorise ce genre de récits aujourd'hui)
La dernière partie du film (Roland adulte) perd absolument tout intérêt cinématographique (beaucoup trop discursif, même si le début du film l'était déjà)