Tout ce qu'il y a de plus énervant, et idiot chez les adolescents. Ce ne sont pas que les acteurs qui sont moyens, ce sont surtout les personnages (le stéréotype de l'adolescent ahuri) qui sont exécrables.
Outre les personnages, c'est l'histoire entière qui n'a aucun fil conducteur. Rien n'est expliqué ni même supposé. Aucun des personnages n'est contextualisé. Le peu de dialogues qu'il y a est inintéressant et le reste du temps une musique pseudo angoissante prend le relais mais ne nous plonge dans aucun univers tellement le personnage principal ne nous procure aucune émotion (à part l'envie de le secouer). Les séquences s'enchaînent mals et ne mènent nul part.
C'est l'une des premières fois que je vois la moitié de la salle partir tout au long du film.
Je l'avais raté lors du festival de Cannes 2019 présent dans la Quinzaine des Réalisateurs et je regrette d'avoir perdu plus d'1h30 de mon temps pour le voir.
Je met tout de même 1 étoile pour l'idée générale du film et le synopsis qui donnait vraiment envie de le voir.
Créée
le 12 juin 2019
Critique lue 810 fois
3 j'aime
3 commentaires
À la manière des « particules » qui donnent au film son titre et qu’une scène montre errant dans le vide, en attendant de s’agréger, ce premier long-métrage de fiction du réalisateur franco-suisse...
Par
le 6 juil. 2019
10 j'aime
6
Premier film de fiction du documentariste français Blaise Harrison, Les particules n'est pas loin d'accumuler tous les poncifs du film d'auteur fauché et un peu ennuyeux : quotidien gris et...
Par
le 8 juin 2019
5 j'aime
Tout ce qu'il y a de plus énervant, et idiot chez les adolescents. Ce ne sont pas que les acteurs qui sont moyens, ce sont surtout les personnages (le stéréotype de l'adolescent ahuri) qui sont...
Par
le 12 juin 2019
3 j'aime
3
Vu lors de sa projection au Festival de Cannes 2019 dans sa version de 3h30, je ne m'attendais pas à ce qu'il soit encore plus vide et redondant que le premier et pourtant… Bizarrement, je ne le...
Par
le 12 juin 2019
