J'aime les chattes

Je m'aperçois que j'ai vu quelques films de ce réalisateur ; le nom me disait bien quelque chose mais je ne parvenais plus à me rappeler sur quels films je l'avais vu.


La mise en scène est diablement dynamique ! C'est très chouette à suivre : la caméra paraît légère, ça bouge bien, le montage est rapide, le découpage pertinent. Les cadres sont bien composés. La musique est vraiment très chouette, renforce le côté spontané, brut, rapide. Les acteurs font du bon boulot ; Alain, Lola et Jane forme un très jolie trio.


Le scénario me laisse mitigé. Je le trouve par moment inutilement alambiqué, par moment un peu facile, plein d'effets, mais je trouve aussi qu'on a de belles situations, des personnages intéressants. Disons que cette ironie dramatique est assez mal exploitée et qu'on aurait aimé une machination mieux préparée. N'empêche que la fin est excellente.


Bref, ça se regarde avec un certain plaisir.

7
Écrit par

Créée

le 18 juin 2018

Critique lue 1.6K fois

7 j'aime

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 1.6K fois

7

D'autres avis sur Les Félins

Éternel René Clément

Je ne me lasserai définitivement jamais de ce film , non pas pour son côté thriller hitchcockien, un brin ridicule et étiré, mais grâce à la réalisation virtuose de René Clément, d'une modernité...

Par

le 12 oct. 2011

23 j'aime

4

«On ne laisse pas Bébé dans un coin». Les Proies. Misery. Le Dernier Metro. Bd du crépuscule

(avec mini spoils)«On ne laisse pas Bébé dans un coin», semble dire Jane-Bébé-Fonda à Alain Delon en l'envoyant cueillir des fleurs sur le marché de Nice.Une histoire et manigance qui me rappellent...

le 13 juil. 2023

17 j'aime

8

Guêpier pour un guépard...

Marc (Alain Delon) est poursuivi par des tueurs travaillant pour sa maitresse. Il se réfugie sur la Côte d' Azur et est embauché par Barbara (Lola Albright), une riche américaine . Il comprend très...

Par

le 22 août 2024

15 j'aime

5

Du même critique

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

Par

le 3 janv. 2016

123 j'aime

35

Strip-Tease
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

Par

le 22 févr. 2014

123 j'aime

45

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

Par

le 16 janv. 2011

116 j'aime

55