Critiques de Les Amours d'Astrée et de Céladon

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Critique de par Angeldelinfierno

Les Amours d’Astrée et de Céladon, drame historique d’Éric Rohmer sorti en 2007, constitue le filon ultime de cette étude de par le paradoxe qu’il constitue; il est l’un des derniers films réalisés...

le 29 août 2023

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Trente minutes de pur génie

J'étais, avouons-le, peu tenté par le kitsch du dernier Rohmer - pendant longtemps mon réalisateur préféré -, et la première partie de cette adaptation précieuse (le ton Rohmerien, à la fois charmeur...

le 29 déc. 2015

13 j'aime

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Du Labyrinthe enseigner les détours

Les sentiments sont aiguisés, les mots-notes filent sur la partition-pellicule, tout va très vite, amour et désamour. L'argument est pourtant toujours au bord de s'effondrer. Ou de l'art de bâtir des...

Par

le 6 mars 2012

13 j'aime

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6

Critique de par Maqroll

Je suis d’accord avec ceux qui ont aimé : c’est un remarquable travail d’adaptation d’un monument de la littérature française, c’est également un travail d’une rigueur de bénédictin dans le rendu...

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le 29 janv. 2014

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Critique de par Chro

Par Jean-Sébastien Chauvin On a envie d'écrire curieux film (c'est fait), mais à bien y réfléchir, on pourrait le dire de beaucoup d'autres oeuvres d'Eric Rohmer. A l'heure où le petit naturalisme...

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le 29 août 2014

3 j'aime

8

Critique de par abarguillet

Qui peut se vanter aujourd'hui d'avoir lu les cinq mille pages du grand roman d'Honoré d'Urfé (1567-1625) : L'Astrée ? Personne ou à peu près, sinon Eric Rohmer, cinéaste cultivé qui en a tiré un pur...

le 6 juil. 2013

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Critique de par CaféCrime

"Céladon était perdu" "Où suis-je ?" Je dis NON!

le 23 oct. 2011

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Un certain sens de l'amateurisme : Les amourettes de Dés'astrée et C'est pas bon

En sortant L'astrée de derrière les fagots, malgré l'odeur de naphtaline d'une œuvre aujourd'hui totalement déée que personne n'a jamais lue en entier (5000 pages quand même) sauf Rohmer, 3 ou 4...

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le 12 nov. 2017

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7

Beaucoup de bergers mais bien peu de moutons

Les critiques sont assez justes sur ce film. Nous sommes dans une oeuvre d'art qui refuse d'appartenir à un genre cinématographique. Plus proche du travail de fin d'étude d'une école de théâtre que...

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le 17 juil. 2017

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