J'avais vu par bribes le film il y a quelques années, je n'avais pas souvenir que les scènes de cul étaient aussi explicites. Je dois me faire vieux que voulez-vous.
Romance de gouines assez banale : elles se cherchent, apprennent à s'aimer, à baiser (beaucoup) et puis bien sûr rupture et chacune reconstruit sa vie dans son coin.
C'est naturaliste, intimiste et sans grandiloquence. Ca tape dans le mille et va à l'essentiel, le film sait prendre son temps aux bons moments sans faire ressentir de longueurs donc c'est appréciable. La fin avec ces chemins qui ne croisent pas a un goût de "bah c'est la vie hein".
Les scènes où Adèle Rastapoulos chiale fonctionnent bien je trouve. C'est comme si elle retombait en enfance, mais l'enfance de la sale gosse qui ferait un caprice de merde. Et pour le coup elle a vraiment eu une attitude d'enfant capricieux à ce moment clé du film. Avec toute ces larmes et ces mucus dégueu qui lui sortent des trous nez on aurait cru voir un personnage de One Piece.
Quand Adèle Excharmouchepoulos joue à la maitresse dans une classe de primaire il y a un planisphère sur le mur en fond bah j'ai exactement le même dans mes chiottes. Faites ce que vous voulez de cette information.
J'ai retiré un point parce que l'espace entre les dents de Léa Seydoux m'a oppressé tout le long du film. Vous savez c'est comme ces gens qui ressentent un malaise face à certains motifs à trous (trypophobie je crois ça s'appelle).
Ah et sinon j'ai cru comprendre que le rappeur Doums fut en couple avec Adèle ExodiaLeMauditpoulos pendant plusieurs années. Il s'est mis bien le salaud…
(nan mais sérieux le nom de famille de l'actrice principale est juste IMPRONONÇABLE c'est une dinguerie. Sûr et certain que si je demandais à ChatGPT de m'épeler son nom ça ferait planter tous leurs serveurs et OpenAi déposerait le bilan dans la seconde qui suit. Mais je ne vais pas le faire car je suis sympa et parce que j'aime bien le joujou d'Elon.)