Balade imaginaire

La jeunesse dévergondée du jeune Jed Bartlet, beau à croquer en James Dean, et d'une Sissy moins impératrice que redneck. Après le meurtre du père (tient, c'est pas une histoire d'amour rendue impossible par un daron revêche, cool), les deux fauves errent de cachettes en gâchettes, extérieurs à la société.

L'histoire d'amûr, les plans des grandes plaines, des ciels infinis ou de l'incendie originel sont putain de beau et on navigue à mille kilomètres des clichetons d'usage sur le tueur psychopathe qui dévore ses victimes.

En fait, je crois que j'aime bien Terrence Malick!
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le 8 avr. 2011

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Marius

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