Le liseron est un calice...

Ça fume, ça bouillonne, ça stop-motionne dans le laboratoire de M. Gondry, là où le cinéma devient de l'art plastique. Avec du tissus, des machines farfelues, du génie et trois bouts de ficelle, l'écume des jours reprend vie sous les doigts d'un autre artiste.
Dans cet atelier de l'onirisme et de l'imaginaire, Gondry donne le jour à un monstre de poésie, un monstre avec le rire unique de Duris et la voix enfantine de Tautou.

Joyeux bricolage.
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le 3 mai 2013

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Julie-julie

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