Domicile conjugal ?
Avec l'Amour l'après-midi, le dernier de ses Contes moraux (et le plus accessible), Rohmer réalise une véritable introspection. Mais surtout pas une psychanalyse - trop de légèreté (au moins...
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le 30 mai 2013
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Toujours curieux de découvrir de nouveaux cinémas j’ai tenté pour la première fois un film d’Eric Rohmer et quel horreur. Pour être très franc j’ai eu envie de couper dès la fin du prologue ayant rapidement compris que j’allais détester. Les dialogues très littéraires sonnent faux et les acteurs aussi. Et puis ils sont vains et ridicules. C’est pendant une heure et demie les élucubrations d’un homme (en sous pull à col roulé) insignifiant et effroyablement commun qui se prend pour le nombril du monde. Le pinacle de la vacuité de la chose étant la scène d’achat d’une chemise à carreaux qui « gratte un peu ». J’ai trouvé le film extrêmement misogyne avec une morale mal placée. La caméra amorphe n’aide pas à intéresser à ses marivaudages d’une tristesse et d’une platitude infinies. Peu de cinéma, beaucoup d’onanisme voilà ce à quoi m’a fait penser un film qui est à ce jour le pire que j’ai vu du groupe de la « nouvelle vague ».
Créée
le 19 févr. 2022
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le 30 mai 2013
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D'habitude, la réalisation d'Eric Rohmer, ne laissant pour ainsi dire que la place à des dialogues littéraires, sonnant faux, m'emmerde profondément. Mais il y a quelque chose qui m'a touché ici dans...
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le 25 juil. 2022
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le 1 avr. 2020
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C’est sûrement le moins vu et le moins réputé de la trilogie de Leone mais quel grand film. Il démarre sur une scène d’introduction d’anthologie alliant humour et grand spectacle. Puis il enchaîne...
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