Une comédie profondément dramatique
L'amour résumé à une partie de jambes en l'air répétée à l'infini.
Qu'y a t-il d'heureux à se rendre compte que l'amour peut durer plus de 3 ans quand celui-ci est assimilé au vide intersidéral caractérisant la relation entre ces deux énergumènes ? Par pitié.
L'amour résumé à des trips idiots sur des lapins volants dans les jardins de Paris quand on est bourré.
L'idiotie des hommes. L'idiotie des femmes.
Pédant et snob sur la forme, désespérément vide et vulgaire sur le fond.
Le perpétuel prétexte du second degré pour palier à un flot de connerie inarrêtable.
Des dialogues et des blagues salaces à vomir.
Une mise en scène nauséabonde, dénuée de toute personnalité.
Le boboisme parisien exacerbé comme jamais.
Finkielkraut qui débat sur ce qu'est l'amour.
Le grand journal.
L'homosexualité résumée à un cours de surf qui dérape en sodomie, puis en mariage.
Joeystarr, seule bonne prestation du film.
Comme disait Pierrot Le Fou : « Il y eut la civilisation athénienne, il y eut la Renaissance et maintenant on entre dans la civilisation du cul ».
Comme c'est rigolo.
Je pense que c'est la pire déjection cinématographique que j'ai pu voir de ma vie.