une nébuleuse autour de la mort annoncée, présumée, présupposée du héros d'une guerre que d'autres ne connaitront jamais.. bien involontaire cette guerre née d'un amour trop fort ou de age. Dolan s'engouffre dans l'interstice du non dit lui d'aventure si bavard pour exprimer le dernier geste, le dernier souffle, étranger parmi les siens. ceux qui justement d'un sang pur ne saliront pas les étangs de ce sang impur. la maladie n'est plus ce qu'elle était et pourtant le silence demeure de rigueur. alors hurler à force de se taire et se taire parce qu'on ne peut pas en parler, c'est juste une historie du temps, d'inversion des valeurs comme le souhaite si ardemment notre monde de paillettes. quand les mots ni les gestes ne peuvent secourir alors il reste cette nature au secours ! le film, m'a touchée et ennuyée à la fois parce que trop maniéré.. anyway, il exprime suffisamment ce malaise pour moi et c'est beaucoup ! thanks
Créée
le 2 mai 2017
Critique lue 207 fois
Il y a quelque temps, quelque part : l’exergue du dernier film de Dolan l’affirme avec un brin de malice et de provocation : ses sujets sont toujours universels, et partant, toujours identiques. La...
Par
le 22 sept. 2016
185 j'aime
6
Parce que je n'arrive pas spécialement à remettre toutes mes idées en place, parce que je n'arrive parfois pas à séparer le négatif du positif dans ce film, et surtout parce que je n'ai aucune idée...
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le 22 sept. 2016
134 j'aime
12
Je ne vais pas faire long, non pas que je n'ai que peu de choses à dire sur ce film, tout au contraire, mais je suis simplement vidé, ravagé, "éparpillé par petits bouts façon puzzle" aussi bien...
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le 9 oct. 2016
126 j'aime
39
ben génial ! des frissons dès le premier plan, une ambiance aussi naturel que son grand frère THe Wire. des acteurs à la démarche chaloupée, victime de leur statut même, leur couleur de peau,...
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le 6 avr. 2018
2 j'aime
mark Ruffalo dans sa détresse la plus pure.. innocent et largué, à croquer
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le 24 janv. 2016
2 j'aime
La sensualité qui nimbe le film est palpable Magnifique Ruffalo Sinon pas le meilleur de Jane Campion mais on s'y laisse prendre
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le 24 janv. 2016
2 j'aime
