Une analyse paroxysmique de la tragédie "humaine" contemporaine dans le
monde extrémiste judéo-protestant, ou les "êtres" sont condamnés à choisir
entre l'aliénation systémique des tumeurs cancéreuses citadines
du fric esclavagiste,
et une nature impitoyable, abandonnée, ne servant que de réserve de
matières premières ...
Être un parasite ou mourir ...
Du coup, le protagoniste quitte un monde dont l'architecture générale
néglige la beauté et la pertinence pour se retrouver emprisonné à
nouveau dans une épave de bus merdique, en pleine nature, belle
métaphore existentielle ... : "et ouais, il n'y a pas de joli pont sur la rivière,
personne n'a voulu payer et sculpter la terre au fil des siècles, sous
l'empire de l'harmonie cosmique, pour la rendre accessible ;
le fric, la laideur et rien d'autre ..."
On comprend mieux l'origine de l'obésité morbide en "nouvelle angleterre".
Les gens se débattent entre deux rencontres stériles et cherchent à
combler leur vide existentiel, en achetant des trucs enrobés de marketing,
pour se remplir ...,
condamnés entre autres à compenser leur non existence en regardant des
films hollywoodiens plus ou moins sado-masochistes...
On fait pitié qmm !!!
Mauvaise méthode au mauvais endroit ...
Faisant partie du club des survivalistes ( bas de gamme ) de la première
heure, http://www.i-m.mx/moupsi/corsicawild/
http://sumavawild.blogspot.fr/
je considère qu'il faut tenir compte de la condition humaine actuelle,
totalement désolidarisée de la nature, pour pouvoir faire les concessions
pragmatiques requises à la survivance "autonome", notament en termes
de distances ...
er du néant au tout, s'extirper du grotesque pendant quelques semaines,
pour enfin toucher du doigt le vertige de la vie réelle telle qu'elle a été
programmée par le cosmos, requiert un minimum de matériel et de
technologie, sinon c'est la mort ...
Faut penser à tout et avoir un cerveau qmm ...
Tout quitter pour ne plus subir ce genre de vision cauchemardesque ...:
http://www.vinci-construction.fr/sites/default/files/canopee_mars_2016_franck_badaire-30.jpg
Un beau film tragique, manquant cruellement de foret qmm ...