Ecrit, produit et réalisé par le cinéaste russe Ilya Naishuller également acteur dans l'optique de briser le quatrième mur. Naishuller est aussi le chanteur et guitariste du groupe de rock Biting Elbows, il devient réalisateur de ses propres vidéoclips avec notamment The Stampede et Bad Motherfucker dont Hardcore Henry est inspiré. Le film est produit aussi par un autre célèbre cinéaste russe, Timour Bekmambetov génial réalisateur de Wanted : Choisis ton destin.
Presque entièrement filmé avec une caméra Go Pro, Hardcore Henry est un Blockbuster indépendant dont vous êtes le héros, en vue subjective vous ne vous souvenez de rien, vous êtes Henry sauvé in extremis de la mort par votre conte, Estelle, chercheuse en robotique. Elle lui explique alors qu’elle a dû le transformer, en partie, en cyborg humanoïde muet afin d’assurer sa survie. Ensuite c'est une heure vingt de traque par l'armée d'un étrange riche albinos doté de pouvoirs télékinésie, et aidé par un mystérieux inconnu aux cent personnages, mourant et ressuscitant tour à tour dans la peau d’un autre avatar, le cyborg doit résoudre l'énigme de son existence, délivrer sa compagne, déjouer ses ennemis et trouver un moyen de sauver le monde. Le tout, en moins de vingt-quatre heures. Au casting Sharlto Copley (District 9, Gringo), Haley Bennett (Marley et moi, La Fille du train), Danila Kozlovsky (Vampire Academy, Viking), Andrey Dementiev (Bad Motherfucker), Tim Roth (Reservoir Dogs, 600 Miles), Svetlana Ustinova et Darya Charusha.
Ça fait trois ans qu'j'attends ce moment et j'récupère Charlie Chaplin, putain de bordel de merde !
Henry est un homme qui a été ramené à la vie par sa femme. Complètement amnésique, Henry se retrouve rapidement avec une armée de mercenaires à ses trousses et il en ignore le pourquoi. Après avoir été capturé, il réussit à s'échapper seulement pour se rendre compte que sa femme est toujours captive. Seul, ignorant, dans un Moscou qui lui est étranger, il ne peut faire confiance à personne, sauf peut-être à ce Jimmy qui semble être une personne qu'il peut croire. Réussira-t-il, avec un peu d'aide, à remettre les morceaux du casse-tête ensemble, à se sortir du chaos et retrouver enfin sa femme ?
Espèce... de petite... chochotte.
Première œuvre cinématographique proposant l'expérience vidéoludique ultime, dérivée des FPS les plus intenses. De l'action futuriste Hardcore et du Parkour explosif dans un Moscou hostile, une aventure multi-référencée en gaming comme Duke Nukem, Half-Life et autres Call of Duty. Avec cependant des notes humoristiques comme avec le cheval sur le thème song des Sept Mercenaires, les Avatars chantant et dansant. Une véritable succession de scènes d'anthologies dans les plans-séquence qui se clots par un final grandiose avec le age d'Henry regonfler à block d'Adrenaline sur la chanson de Queen, Don't Stop Me Now contre Akan et son armée d'hommes cyborgs !
C'est moi, c'est Jimmy !