Prunelle rentre de deux semaines de vacances, heureux de retrouver son « Petit Coin », qui rend « utile l’inutile ». Ils tentent de revendre des objets avec un défaut de fabrication. Problème, un nouveau stagiaire un peu particulier a débarqué, avec sa mouette et son chat… Pendant ce temps, Monsieur de Mesmaeker va tenter de racheter cette start-up à succès, et ça ne sera pas simple. Prunelle devra donc gérer les deux, de quoi devenir chèvre (une expression populaire en 1982).
Hésitant quant au choix du film de la semaine à aller voir en salle, j’ai soumis, « confiant », à mes amis taquins, sur un réseau social connu, trois choix. Evidemment, à une écrasante majorité, ils ont choisi celui-là. Je les « déteste » (pas du tout !), cordialement (mais j’aurais dû m’y attendre, sachant que la dernière fois ils ont choisi un film « Barbie »). Bref, je me suis exécuté (la gratuité de la place fait mieux er la pilule de l’amertume). Alors…
Si je devais comparer à la précédente adaptation cinématographique de BD franco-belge que j’ai vue au cinéma, Spirou et Fantasio, celui-ci est, tout de même, un poil au-dessus (ce qui n’est pas difficile, vous en conviendrez). Déjà, j’ai beaucoup plus souri (je n’ai pas ri à gorge déployée) devant celui-là car, soyons honnête, quelques sketchs font mouche. Même si je n’ai pas beaucoup lu Gaston Lagaffe dans ma vie, du peu que je me souviens, l’univers, à part l’entreprise, est assez respecté.
Je n’ai pas vraiment été emballé. A part Jérôme Commandeur et Alison Wheeler par moments, le casting ne m’a pas vraiment convaincu, surtout Arnaud Ducret, que je trouve vraiment très en dessous. Les sketchs m’ont rarement fait sourire, à part ceux avec le chat et la mouette, et quelques accessoires (notamment la « déprimante »). Ce n’est pas la meilleure comédie de l’année mais loin d’être la pire, sans aucun doute, car il y a du « lourd » qui arrive…