February
5.2
February

Film DTV (direct-to-video) de Oz Perkins (2015)

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Ça aurait pu être très bien, mais...

Mais, tout est dans le mais, ... il manque quelque chose à ce film pour qu'on puisse réellement l'apprécier.
Trop classique, ou conventionnel dans la façon de traiter la possession maléfique. Ce n'est pas crédible, c'est un peu comme un cheveu sur la soupe.
Par contre les personnages, l'étrangeté, l'ombre (avec des euh oreilles) qui guette..., l'ambiance glacée, sont réussis. Une belle qualité photographique, des plans longs qui en rajoutent au mystère, le déroulement parallèle d'une histoire dans un lycée et plus loin d'un couple et d'une jeune fille errante, sont plutôt des réussites.
La fin bien que non conventionnelle, et qui boucle le cycle, laisse malgré tout sur sa faim, c'est le cas de le dire... J'aurais aimé plus de développement dans l'histoire, certains moments creux auraient pu être remplis justement pour apporter plus de consistance au récit. Les dialogues et la thématique de l'histoire n'ont finalement pas beaucoup d'intérêt. Tout est dans l'ambiance et l'exercice de mise en scène pour arriver d'un point à un autre. Cela semble le thème de prédilection de cet auteur réalisateur, puisque dans son second film (production netflix) "I am the pretty thing that lives on the house" on retrouve ces différentes dimensions temporelles, le cycle inéluctable de la "destinée".

6
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le 20 nov. 2016

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Denaya

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