« J’ai toujours su pourquoi je me battais »

Aucune brillance, aucun dialogue saillant, aucune scène remarquable qui font de ce Che : l’argentin un biopic bien terne. J’ai eu parfois l’impression d’être devant la rétrospective d’une classe verte ; il y a bien parfois quelques coups de feu tirés : mais quasiment aucun mort n’est visible à l’écran. Et puis cette prolixité avait quelque chose de rébarbatif. Pour finir, Steven Soderbergh ne montre que les côtés reluisants (et ennuyeux) du Che.

5
Écrit par

Créée

le 3 déc. 2022

Critique lue 35 fois

3 j'aime

Trilaw

Écrit par

Critique lue 35 fois

3

D'autres avis sur Che - 1ère Partie : L'Argentin

Hasta la victoria, siempre !

N'étant pas révolutionnaire pour un sou et n'ayant pas de poster du Che punaisé au-dessus de mon écran plasma, je ne connais pas grand chose à la vie et à l'oeuvre du grand Che Guevarra. Je ne...

Par

le 8 sept. 2012

8 j'aime

Cinéma guérilla

Cette critique englobe les deux parties du diptyque. J'ai vraiment du mal à comprendre les parti-pris choisis par Steven Soderbergh. Pour évoquer la riche et tumultueuse existence d'Ernesto Guevara,...

le 24 avr. 2021

7 j'aime

1

Critique de Che - 1ère Partie : L'Argentin par Caine78

Bien curieux dyptique qu'a réalisé Steven Soderbergh avec ces "Che". Se refusant à tout spectacularisme, la mise en scène se fait parfois proche du documentaire, la caméra à l'épaule étant même de...

Par

le 25 mars 2018

3 j'aime

Du même critique

« Bientôt s’éteindra cette génération qui ne devait pas survivre »

Le film est farouchement et profondément féministe mais quoi de plus normal pour un métrage dédié à une femme extraordinaire qui a permis que l’un des droits les plus élémentaires pour elles, même si...

Par

le 24 nov. 2022

36 j'aime

4

« On ne congèle pas les bébés »

Treize ans de longues années d’attente patiente pour un résultat aussi famélique. Commençons par la fameuse 3D, je me souviens d’un temps où les lunettes 3D étaient devenues un outil indispensable...

Par

le 16 déc. 2022

27 j'aime

« Il pleut des chiens morts »

Une journaliste doit réaliser une entrevue avec Salvador Dali.Qui était assez surréaliste à l’instar de l’art du peintre pour réaliser un métrage sur le maître, si ce n’est Quentin Dupieux qu’on...

Par

le 7 févr. 2024

16 j'aime

3