Amanda
6.7
Amanda

Film de Mark Sandrich (1938)

Jubilation parfaitement ordonnée et 'ordinaire'

Notes :
Danse 1, claquettes avec balles de golf
Danse 2, nénuphars
Danse 3, yam yam dans la salle et hors de la salle avec les danseurs-spectateurs.
Danse 4, hypnose
Si je n’en oublie pas.


La jubilation du mouvement qui vainc le déséquilibre, la pesanteur et la maladresse (la maladresse fictive du héros, en amont de la 1ère danse), la jubilation du rythme qui ordonne les aspérités ou qui met en lumière l’organisation du monde, la jubilation de la fluidité, la jubilation pure procurée par la virtuosité gymnastique. Ici, c’est l’homme normal qui jubile, pas l’exceptionnel, pas le virtuose. Cette virtuosité est offerte en partage, sur un tissu blanc pour un mariage entre les rêves de tout un chacun dans la salle.

8
Écrit par

Créée

le 17 sept. 2015

Critique lue 279 fois

3 j'aime

JM2LA

Écrit par

Critique lue 279 fois

3

D'autres avis sur Amanda

Critique de Amanda par Caine78

Mineur à bien des aspects, cette "Amanda" déçoit plus qu'autre chose. Nous offrant un scénario proche de l'indigent et la plupart du temps ennuyeux, l'oeuvre gêne par son manque de rythme et ses gags...

Par

le 25 mars 2018

2 j'aime

Surtout pour la séance de practice au golf !

Un psychanaliste (FA) doit soigner la fiancé d'un de ses amis qui "refuse le mariage". Les séances débutent mal mais peu à peu le "traitement"(?) fait effet. La jeune promise veut enfin se marier...

le 21 déc. 2014

Du même critique

Le ciel est à vous
10

Le plus pur chant du cinéma occupé

Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...

Par

le 12 sept. 2015

12 j'aime

Critique de Le Plein de super par JM2LA

Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...

Par

le 2 oct. 2015

11 j'aime

La main de la comédie a retenu celle de la tragédie : miracle. Et le style a suivi la main.

La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...

Par

le 8 mars 2016

10 j'aime

1