Le gros défaut de The Department of Truth jusqu'à présent était que c'est vraiment très voir trop verbeux, rendant la lecture un peu laborieuse.
C'est pourquoi j'ai mis du temps à entamer ce Tome 4, sachant qu'il ne s'agit pas d'une lecture décontractée mais d'une expérience plus exigeante.
Mais dès les premières pages de ce tome, j'ai remarqué une nette différence : le récit est beaucoup moins bavard, offrant une fluidité et un plaisir de lecture accrus. L'histoire reste ionnante, captivant toujours autant mon intérêt. Le style artistique distinctif de Martin Simmonds continue à s'harmoniser parfaitement avec le récit, ajoutant une dimension visuelle unique.
J'ai littéralement dévoré ce tome et j'attends avec impatience la suite avec l'espoir que cette dynamique narrative plus fluide perdure.