Silence, on tracte - Garage Isidore, tome 3
6.8
Silence, on tracte - Garage Isidore, tome 3

BD franco-belge de Olis (1996)

Le garage Isidore sera loufoque ou ne sera pas !

Après deux premiers albums inventifs mais assez sages, Gilson donne un coup de fouet au scénario et redouble d’intrigues hilarantes et de gags aux frontières de l’absurde. Tant mieux, car sans cela, la série aurait dangereusement menacé de s’essouffler à court terme...

La réussite de cet humour déjanté, on la doit au dessin d’Olis : celui-ci renforce encore les attitudes des personnages, redouble l’exagération dans les explosions, et dessine les premiers carambolages-monstres. Les gags se déroulent de plus en plus souvent sur un nombre restreint de vignettes, parfois quatre seulement par page : un concentré d’humour, jouissif ! Aussi bien les personnages que les voitures, tout a de la gueule et du charme dans cette BD.

Avec cette petite réorientation qui ne gâche rien, c’est un retour en force pour le Garage Isidore !
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Check-list : Garage Isidore !

Créée

le 2 juil. 2013

Critique lue 177 fois

Wakapou

Écrit par

Critique lue 177 fois

D'autres avis sur Silence, on tracte - Garage Isidore, tome 3

Critique de Silence, on tracte - Garage Isidore, tome 3 par cyborgjeff

Ma fois, je ne me souvenais plus oh combien les gags de la série Garage Isidore sont frais et amusants ! Nous sommes alors en 1996, et il faut bien l'avouer, j'ai déjà usé et usé les pages des Gaston...

le 12 sept. 2017

Le garage Isidore sera loufoque ou ne sera pas !

Après deux premiers albums inventifs mais assez sages, Gilson donne un coup de fouet au scénario et redouble d’intrigues hilarantes et de gags aux frontières de l’absurde. Tant mieux, car sans cela,...

Par

le 2 juil. 2013

Du même critique

Une « coïonnerie »

Anthony Burgess avait, dans ses dernières années, une très grande crainte : celle de ne demeurer dans les mémoires qu'en tant que l'écrivain qui avait inspiré Stanley Kubrick pour « A Clockwork...

Par

le 1 déc. 2010

62 j'aime

16

Please be a parody !

Fincher, fais-moi plaisir, dis-moi que c’est une parodie ! Vu étant gosse, ce film m’avait laissé le souvenir d’une immense claque, avec un parfum délicieux d’ultra-violence et de subversion contre...

Par

le 19 juin 2013

58 j'aime

9

Dummies' Park

Mais pourquoi sont-ils si bêtes ? Un film à la gloire des imbéciles de tout poil : tous les personnages font systématiquement les actions les plus débiles qui soient, la liste est longue. Mais comme...

Par

le 11 sept. 2013

51 j'aime

14