Bonne histoire, courte mais implacable. Le Punisher s'y retrouve confronté à la fin du monde anéanti par les bombes atomiques, rien que ça.
Dès le début, le ton est donné : c'est glauque. Et ça va l'être jusqu'à la fin. Aucun espoir n'est permis. Le héros se lance dans une dernière quête vengeresse et rédemptrice (enfin si l'on veut).
é outre le côté invraisemblable de l'intrigue (ceci dit, comme toutes celles concernant le personnage), on est frappé par le nihilisme et pessimisme qui imprègnent cette histoire. En arrivant à la fin, on se sent désespéré comme pas possible. Le graphisme de Richard Corben, avec ses personnages aux traits marqués et inquiétants, y joue pour beaucoup.