Horreur, déjà le tome 8. La fin de cette jolie histoire s'approche et déjà je me rends compte que bientôt tous ses protagonistes ne seront plus qu'un souvenir.
D'album en album, Magasin général est parvenu à me séduire, et ce bien qu'au départ je n'étais inexplicablement pas du tout attiré par cette série et que cette inattirance s'est vue immédiatement renforcée dès le début de la lecture par la langue utilisée. Langue qu'aujourd'hui au huitième tome, j'apprécie et que je regretterai de ne plus entendre.
Cette petite communauté est charmante à tout point de vue. Il me tarde de savoir comment l'histoire se finit mais en même temps je n'ai pas envie de tourner la dernière page de Magasin général. Fantastique sentiment que celui-ci.