A la différence d’autres épisodes de la série (qui sont au age très inégaux), on reste sur notre fin quand à la dystopie annoncée.
Certes, on prend plaisir à plonger dans la Rome Antique et ses intrigues politiques et on voit bien le tournant que prend l’histoire avec ce qui n’est en définitive que le prolongement d’une révolte d’esclave. On comprend que l’histoire de l’empire sera bien différente sans
la conquête des Gaules par César, dont l’infirmité arrive presque comme un cheveux sur la soupe sur la dernière page.
Mais en quoi sera-t-elle vraiment différente ? Ledit conquérant pourrait très bien être remplacé dans une inversion des rôles avec son principal rival ou n’importe quel autre patricien voyant son heure arriver grâce à cette défection.
On a donc là une jolie parenthèse historique qui au final pourrait avoir bien peu d’incidence sur nos livres d’histoire. Un intérêt limité donc par rapport au concept de cette série.