Si j'ai aimé les histoires, leur beauté, les dessins, la technique... assez décue de cette alternance mathématique et chimique pour "inclure tout le monde afin de plaire au lectorat woke".
Alterner bien méthodiquement jaune/blanc/noir, handicap ou non, hétérosexuel/homosexuel/poly etc etc... a rendu le récit assez lourd et artificiel au final. Si je comprends bien que la définition de l'amour est propre à chacun, la facon de faire me semble... chimique.
Créée
le 3 nov. 2023
Critique lue 16 fois
Ne le nions pas, Julie Maroh est devenue mondialement célèbre grâce au succès du Bleu est une couleur chaude, œuvre grandiose s'il fallait le préciser. Corps Sonore offre également la beauté...
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le 5 janv. 2018
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Lire "Corps sonores" en écoutant "Où va le monde" de La Femme, c'est trouver un écho à ses ruptures. Julie Maroh confirme, après "Le bleu est une couleur chaude", sa propension à déplier la nuée des...
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le 9 janv. 2017
2 j'aime
Le patchwork des situations est ce qui fait la force de la BD mais aussi sa faiblesse : difficile d'être profondément touchée quand on enchaine des histoires très différentes et pour lesquelles on...
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le 28 avr. 2019
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bon, j'ai trouvé à mon sens que c´était un très mauvais film. Mais ce qui me choque le plus c'est qu'il s'agit en fait d'une adaptation d'une BD "Chateau de sable" de Frederik Peeters et de Pierre...
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le 16 mai 2024
Marrant et...décevant ces critiques sur la manière de dessiner de l'autrice. Travaillant dans une bibli suédoise spécialisée BD, mes collègues trouvent son style limpide, simple et honnête, loin de...
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le 26 avr. 2023
