Terminal Jive est dans la continuité de No. 1 in Heaven dans le sens où Giorgio Moroder est encore présent à la production (même si cette fois il n'est pas seul), mais c'est surtout un bon complément à cet album qui expérimentait avec les sons des synthés de l'époque, plutôt en avance sur son temps.
Ici on est moins dans le disco : on conserve ce côté dansant et électronique tout en revenant un peu, l'air de rien, à ce que les Sparks savent faire de mieux, c'est à-dire de la Pop de qualité.
Le son est lourd est entraînant, du côté de la production c'est vraiment impeccable et même si les mélodies sont peut-être à la fois moins percutantes et extravagantes que dans certains opus plus cultes des Sparks (je pense évidemment aux albums des années 70), ça s'écoute tout seul.