Certains rappeurs s'inventent une vie. La racontent avec des mots beaucoup trop compliqués. Evoquent 50 000 thèmes dont tout le monde se tape. Posent sur des sons peu travaillés et peu variés en termes de style. Et n'ont pas les couilles d'inviter leurs potes en featuring en pensant que ça nuira à la qualité.
En gros, Hyacinthe fait l'inverse.
"Nekfeu avec de la drogue dure ou Manset sous autotune" mais surtout une énorme paire de couilles (1). Et du gabber des familles. Ce qui ne peut que ravir les téléramistes boboïsants faussement subversifs, dont j'espère faire partie (2).
Notes de bas de page :
(1) : que je n'ai pas.
(2) : à mettre en lien avec le (1).
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 13 oct. 2017
Critique lue 328 fois
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J'ai vécu une expérience mystique en écoutant le premier album de Hyacinthe, hier soir. La première chanson m'a happée, pour ne plus me relâcher. On entre dans un univers sombre et parsemé d'étoiles...
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le 21 oct. 2017
4 j'aime
Certains rappeurs s'inventent une vie. La racontent avec des mots beaucoup trop compliqués. Evoquent 50 000 thèmes dont tout le monde se tape. Posent sur des sons peu travaillés et peu variés en...
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le 13 oct. 2017
2 j'aime
J'ai eu l'impression de retrouver un ersatz de PNL, groupe que je n'apprécie pas particulièrement. Oui, il y a une atmosphère particulière qui se dégage de cet album. Oui les thèmes sont personnels,...
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le 28 nov. 2017
1
cf. le titre de la critique et éventuellement reverso.
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le 11 sept. 2017
4 j'aime
2
Roger Hargreaves nous a habitués à mieux... Le perso reste sympa... La couverture est top ! Bref, si vous êtes des inconditionnels de l'auteur, vous trouverez sûrement votre bonheur... mais sinon,...
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le 10 sept. 2017
3 j'aime
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le 13 oct. 2017
2 j'aime
