Demy Dandy
Katerine est un cinéphile. N'ayant jamais caché son iration pour Jacques Demy (allant même jusqu'à prendre son nom d'artiste en hommage à Catherine Deneuve, ou simplement à sa cousine) il avait...
Par
le 9 nov. 2018
3 j'aime
Ou le retour - avec une vengeance - de la Variété française la plus ridiculement datée, mais aussi la plus suave : disons celle de Michel Legrand enchantée chez Demy... Mais la nostalgie un rien perverse de cette époque pastel est littéralement emportée par une éblouissante cruauté, et la maîtrise très précieuse du phrasé fait de cette expérience l'une des plus troublantes : toute froufroutante et pourtant toute en non-dits, abordant crûment les coins obscurs de nos sentiments comme de notre sexualité. On peut s'en tirer en parlant de second degré, mais c'est bien l'âme brouillée que l'on termine cette promenade faussement légère. [Critique écrite en 1996]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Liste chronologique des concerts auxquels j'ai assisté [en construction permanente]
Créée
le 24 juil. 2014
Critique lue 362 fois
6 j'aime
Katerine est un cinéphile. N'ayant jamais caché son iration pour Jacques Demy (allant même jusqu'à prendre son nom d'artiste en hommage à Catherine Deneuve, ou simplement à sa cousine) il avait...
Par
le 9 nov. 2018
3 j'aime
Avec Mes mauvaises fréquentations, on découvre un peu, enfin, le Katerine qu'on entendra désormais. C'est enfin sa voix sur la majorité des titres. Et ce qu'il propose, c'est une chanson française...
Par
le 9 janv. 2024
1 j'aime
L'un des rares albums où je ne trouve pas de point noir ! Chaque chanson est un régal de douceur et de poésie, qu'il vous rend heureux par sa simplicité ! Vraiment un des meilleurs albums de musique...
Par
le 16 nov. 2024
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
194 j'aime
25
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été ées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
194 j'aime
118