Dire Straits en mode pilotage automatique activé, ne reprenant le manche qu'à de rares moments convaincants tout en étant conscient qu'il faut en faire plus pour faire mieux. Cet Espresso Love qui cristallise, synthétise le style de Dire Straits, comme si créé de toutes pièces par une IA balaise, en est l'exemple-même : il est dynamique, relevé, peut-être virtuose aussi, mais on croirait l'avoir déjà entendu partout. Et à la mièvrerie de s'accaparer le songwritting de Knopfler sur Romeo & Juliet, Hand in Hand, au banal de clore l'album.
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le 12 mars 2024
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Alors voilà, c’est à partir de ce moment-là que Dire Straits devient vraiment un grand groupe à mon sens. Le moment où ils quittent petit à petit leur ambiance rock de bar tout droit inspiré du blues...
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le 15 mars 2020
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le 12 mars 2024
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J’attends beaucoup d’un album, surtout si la pochette est rouge carmin, et que le titre est court et cinématographique. Décevant ce truc. Le rock bourrin, à deux accords...
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le 22 juin 2016
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Tromperie sur la marchandise, l'affiche a l'élégance porcine d'un Seul contre tous mais son contenu est en fait une grosse farce guerrière qui ne mérite en aucun cas toutes les accroches putassières...
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le 2 avr. 2020
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Yi Yi sonne comme le chef d'oeuvre du cinéma taïwanais des années 2000, le film-somme d'un cinéaste parti trop tôt, qui avait encore tant à apporter à l'édifice qu'il avait lui-même bâti au cours des...
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le 27 févr. 2011
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Tout le monde, à part la bande de camés du coin, pensait le Velvet définitivement enterré dans les limbes de l'insuccès commercial, creusant tellement profondément leur propre tombe qu'ils ne...
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le 23 déc. 2011
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