Soyons honnêtes : je n'ai pas écouté de Moby depuis ses albums 18 et Play, mais j'ai décidé de jeter une oreille à Destroyed quand j'ai entendu deux de ses titres, Rockets et Lay down in Darkness, dans les podcasts Dark Industry.
(pour ceux qui cherchent des podcasts variés, souvent excellents et qui mélangent les genres, je recommande)
Il arrive que des artistes évoluent fortement au cours du temps, je n'ai pour ma part pas ressenti cela en écoutant Destroyed. Cet album n'est somme toute pas mauvais, d'ailleurs, mais un peu inégal à mon sens, ce qui est dommage ; il n'est pas novateur, ce qui n'est pas un mal en soi, mais on pourrait être en droit d'attendre un peu plus d'originalité.
Quoiqu'il en soit - et c'est un plus -, Destroyed a réveillé mon intérêt pour les productions de Moby... affaire à suivre donc.