Saïgon... merde.
Saïgon... merde. Et tout est déjà là. Un râle venu d’un corps qui ne sait plus s’il rêve ou s’il délire, s’il revient de la guerre ou s’il ne l’a jamais quittée. Un homme nu, ivre, paumé, en sang, prisonnier d’une chambre d’hôtel à Saïgon.