Les meilleurs jeux Crash Bandicoot selon LeMalin

Annotation :

Plus abouti que le premier, plus cohérent que le troisième, le meilleur de la trilogie sacrée de Naughty Dog, et par extension le meilleur tout court, voilà.

Annotation :

Le come-back triomphal qu'on attendait plus. Avait tout du plaisir coupable, mais en fait non c'est étonnamment très réussi.

A spin to the past (Cf critique)

Annotation :

Maintenant que l'affrontement stérile Mario / Crash est derrière nous, on peut le dire que CTR était quand même une bien belle réussite ?

Annotation :

Des mini-jeux très inégaux, un 200% frustrant, mais aussi beaucoup de rigolades et un mode aventure jouable entièrement en coop, et c'est bien ça qu'on retiendra.

Annotation :

Nouveauté attendue le mode en ligne avait le potentiel de rassembler plusieurs générations autour de courses endiablées mais se révèle être la grande déception de la proposition. Faute de travail sur les modes proposés réduit au strict minimum, de chargements dissuasifs entre chaque joute, et d’une absence totale de matchmaking ne faisant que renforcer l’écart immense entre les plus entrainés qui feront la course avec eux même loin du peloton et les malheureux débutants qui n’auront même pas la consolation de franchir la ligne d’arrivée.

Annotation :

Avec le temps, il a été auréolé du titre de "jeu difficile comme on n'en fait plus". La vérité c'est qu'il est surtout un épisode à l'équilibrage maladroit, au gameplay encore trop imprécis, et au level design parfois bien raté.

Des débuts tout de même très encourageant pour la franchise avec une formule engageante qui ne demandera qu'à être perfectionné.

NB: Toujours marrant de se dire que le point d'origine des platformer runner se trouve quelque part dans ces niveaux où l'on chevauche un sanglier qui ne veut pas finir embroché.

Annotation :

Si on fait abstraction du challenge revu à la baisse, les niveaux de plateformes thématiques sont très chouette. Par contre à coté c'est complétement la foire avec des tentatives de diversifier le gameplay le plus souvent à coté de la plaque. Forcément ça plaisait au jeune public, mais ça nuit pas mal à la prospérité de cet épisode.

A noter l'intégration de power-up à débloquer, une idée qui ne trouve pas vraiment son sens avec notamment le Bazooka à fruits Wumpa qui ne sert absolument à rien (Ah c'est sur ça en jette sur la jaquette), et le double saut qui casse plus le jeu qu'autre chose.

Annotation :

Drôle de projet que ce Twinsanity, malheureusement trop moyen pour être réhabilité bien que suffisant audacieux pour demeurer intéressant à découvrir.

Une bonne réalisation, une OST a cappella positivement étonnante, quelques idées intéressante ici ou là, et surtout cette envie de bousculer les codes de la franchise sans pour autant trahir son esprit peuvent lui valoir une certaine sympathie.

Par contre la taille des caisses c'est juste pas possible. Et toujours choqué par la backstory de Nina Cortex, surement le truc le plus creepy inventé dans un jeu Crash.

Annotation :

Un Crash exclusif à une console Nintendo, oui ça existe… et oui on s'en fout.

En soi pas un épisode déshonorant, mais qui se contente de recycler sans grande inspiration les grandes lignes de la trilogie. Le tout sans jamais briller dans l'exécution.

Annotation :

Suite directe désormais officieuse de la trilogie sacrée de la playstation 1, The Wrath of Cortex reprend à l’identique la structure de Crash Bandicoot 3 mais ne connaitra jamais le même succès.

La faute principalement au gameplay qui perd considérablement en précision et en énergie, rendant l’aventure bien plus frustrante qu’elle ne devrait l’être, et ne faisant qu’aggraver la peine ressentie à l’abandon de la licence par Naughty Dog.

La faute également à des nouveautés peu enthousiasmantes. D’abord dans l’univers avec l’arrivée au casting de l’abomination Crunch Bandicoot et des anecdotiques masques élémentaire, preuve tangible du manque de créativité et d’audace du Traveller's Tales (qui à leur décharge ont travaillé dans la panique et la hâte suite au départ de Mark Cerny et la remise à zéro du projet), d’autant plus pénalisante face à de nouveaux venus bien plus innovants dans le petit monde des plateformers 3D. Et surtout dans les nouvelles variations de gameplay, avec en tête les tristement célèbres niveaux dans une boule de hamster (une horreur en contre la montre… et pas que), et ceux moins connus en wagon qui redéfinissent à eux seul la notion d'ennui.

Et dans nos contrées, aussi un peu à cause du doublage catastrophique.

Annotation :

Un simple clone de CTR avec une meilleure technique et de nouveaux circuits aurait suffi à tenir la barre auprès des fans. Bien sûr certains auraient été déçus mais pas scandalisés.

Au lieu de ça le gameplay qui en faisait la force a pris un virage insensé et s'est retrouvé dans le décor. Le système de boost été massacré. Les sensations de vitesse se sont envolées. Le plaisir de la course a disparu. Et ce n’est malheureusement pas la campagne qui viendra sauver la mise.

Tout n’est pas à jeter et certains circuits réussis seront plus tard réhabilités avec Crash Team Racing Nitro Fueled sur lequel il vaut mieux les découvrir, d’autant qu’ils seront débarrassés des segments en gravité modifiée qui nuisent ici tellement au rythme que l’on préféra dire que c'est Mario qui les a inventés.

PS: Le responsable du chara design des nouveaux personnages mériterait de er sous le kart de Papu Papu.