Critiques de Deux mains, la nuit

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superbe film noir gothique

Adapté librement d'un roman de suspense, ce film de Robert Siodmak (un des grands spécialistes du film noir américain) est magnifiquement réalisé. La photo de Nicholas Musuraca est superbe, les...

le 3 août 2014

9 j'aime

3

8

Critique de par MathieuM

Impressionnant L'idée de départ (un tueur en série qui s'en prend à de jeunes femmes infirmes) est plutôt originale. Et on pressent qu'elle sera prétexte à un traitement formel réjouissant. Pour...

Par

le 26 janv. 2011

6 j'aime

7

Critique de par Caine78

Même si je dois avouer ne pas être aussi enthousiaste que d'autres en ce qui concerne les fims de Robert Siodmak, il n'en demeure pas moins que se dégage presque toujours de ces derniers une...

Par

le 25 mars 2018

4 j'aime

8

Critique de par Alligator

Très belle réalisation de Siodmak, comme souvent avec ce grand réalisateur. Le chef-op fait le gros du boulot il est vrai, tant la photographie s'ingénie entre ombres et lumières à se jouer des coins...

Par

le 8 févr. 2013

4 j'aime

1

9

Critique de par cathVK44

Spirales de l’escalier et de l’inconscient où s’entrelacent trauma et noirceur d’une obsession morbide. Là où rôdent les mains de la mort. Outre une superbe photographie, un décor quasi...

Par

le 17 juil. 2024

2 j'aime

8

Danger dans l'escalier

Une atmosphère sombre tout en jeu d'ombres et de lumière, directement inspirée de l'expressionnisme allemand, intensifiée par des décors inquiétants, où l'escalier en colimaçon qui descend à la cave,...

le 5 janv. 2022

2 j'aime

7

Rayons l'imprefection

Bonne surprise. L'intrigue fonctionne bien. Dommage que les auteurs aient joué la carte du mystère concernant l'identité du tueur : j'aurais préféré que cela soit fait plus tôt dans l'intrigue afin...

Par

le 9 févr. 2020

2 j'aime

9

Critique de par ionArt7

Visuellement fascinant, jeu d'ombres et de lumières, orage, flammes vacillantes, réussissent à nous oppresser. Tout peut arriver la nuit! ”

Par

le 28 mars 2025

1 j'aime

9

Critique de par gregoreur-de-films

Un œil exorbité, une silhouette inquiétante gantée, une pluie battante et bien d'autres choses encore, le voilà l'ancêtre du giallo !

le 12 mars 2024